Une question de réputation - CONSTANCE & GARRETT

Les jours ce sont écoulé depuis la fameuse soirée du temps des fêtes, celle auxquels toute la famille avait organisé, dont moi également qui aimait l’idée de l’organiser à l’hôtel. Pourtant la soirée ne pouvait qu’être magnifique, elle aurait du être parfaite, sans encombre, il y a eu la déclaration de mon frère, puis lorsque le courant avant cessé de marcher pour nous révélé une macabre découvert. Pour le coup, je faisais mon possible afin de garder bien haut la réputation du vintage hôtel, ont a tellement bâti d’effort sur notre réputation, sur le fait que l’on voulait être connu et à la hauteur de cette entreprise unique puisque l’hôtel est notre seul véritable projet depuis le départ de Los angeles. Aujourd’hui je me trouvais au vintage hotel, je m’occupais de la paperasse, je faisais mon possible afin de garder nos profils et nos bons clients. Je détesterais perdre de la clientèle à cause de ce drame lorsque j’ai été témoin, comme tous le monde, du cadavre de l’infirmière disparue depuis plusieurs semaines. Finalement alors que je m’occupais sur mon ordi des comptes numérique, j’entends cogner à ma porte, puis en voyant mon frère, je ne pu m’empêcher de sourire et d’aller lui réclamer un calin.

- hey grand-frère! Oh non ne t’inquiète pas, je terminais seulement quelques derniers relever bancaire.. mais je suis toute à toi!

Mon travail, mon bureau, c’est comme mon sanctuaire, très peu pouvait y accéder, je ne prenais que sur rendez-vous, mais pourtant les seuls personnes ayant le privilège de venir m’embêter sont ma soeur et mes deux frère. Donc comme toujours, je me trouvais dans mon bureau, à regarder les paperasses, à faire le compte des factures et du budget. Pour le moment tous ce passait bien du côté des profils que l’hôtel faisait habituellement, C’est certain qu’avec l’incident de la fête l’autre soir, ça parlait beaucoup. Puis mon frère vient à ma rencontre, je ne pouvais m’empêcher d’être vraiment heureuse de le voir, il avait l’air de se porter en meilleur forme et plutôt de bonne humeur. Mon frère me demandais comment mon travail allait, évidemment qu’il ne me dérangeait jamais, c’est vraiment rare que je sois obliger de lui dire de revenir plus tard car je porte toujours de l’attention envers ma famille, grâce à ce déménagement, je me sentais à nouveau proche de mes deux frères, avec Kayle, on a toujours été proche l’une de l’autre.

- Elles sont comme à l’habitude, les profils n’ont pas vraiment chuté, même si c’est plus calme et que à cause de l’autre soir à la fête, ça parle beaucoup.

Dis-je de manière assez professionnel, je savais comment je devais remonter la cote de popularité du vintage, puisque je suis bien la seule qui dirige la comptabilité et les dépense, puis les tarifs en générale, je pouvais dire si oui ou non il y aurait à s’inquiéter pour notre avenir.

- Ne dis pas de bêtise Garrett, on ne pouvait vraiment pas savoir ce qu’il allait se passer à la fête de noël, mais du coup, je me demande qui nous déteste au point de vouloir salir notre réputation. je sais bien qu’on a acheté un bien historique et au passé particulièrement troublante, mais bon..

Je discutais avec Garrett, je faisais face à mon frère, l’instant d’une petite discussion, C’était notre habitude, de parler, de prendre de nos nouvelles, mais en ce moment C’est surtout sur la popularité de cet hôtel. Je tentais de le rassurer au mieu, en lui expliquant clairement les choses, que malgré notre mésaventure, il restait encore aussi populaire, que nos profits ne s’en trouvait pas toucher à son maximum. Je sais qu’il me fait confiance, puisque je gère une grosse partie des finances, en plus de m’occuper d’une grosse partie d’une section de l’hôtel. Pour l’instant, je me contente de l’écouter me parler, de ses craintes, de ses pensés, de son opinion, je ne pouvais que sourire, d’un regard compatissante.

- Je comprends Garrett, cet endroit à connu trop de souffrance pour le laisser dans son état du passé, ont a bien fait D’en faire quelque chose de meilleur encore. Ne te tracasse pas pour les mauvaises langues, ils sont juste trop concentré dans leur passé pour voir au-delà de notre manoeuvre de havre de paix.

Je lui souris doucement calmement, je voyais qu’il commençait à jouer avec mon presse-papier qui m’a coûté une petite fortune, enfin j’y suis attaché, je le lui prit doucement des mains.

- doucement avec ça, il a coûté cher