C'est devenu une routine d'encaisser les coups bas.

Gentille ▬ Douce ▬ Généreuse ▬ Sait écouter ▬ Loyale ▬ Timide ▬ Hypersensible ▬ Mature ▬ Réfléchie ▬ Rancunière ▬ Mauvaise perdante  ▬ Ne supporte pas l'échec ▬ Peu paraître froide ▬ Trop franche, elle manque de tacts ▬ Sa mère est morte lorsqu'elle avait deux ans ▬ Son père n'est pas le papa de l'année ▬ Elle fut autonome très vite ▬ Elle sait ce qu'elle veut ▬ Elle se donne les moyens de l'obtenir ▬ Elle n'est pas trop fêtarde ▬ Elle aime être chez elle devant un bon film ▬ Le dessin est sa passion ▬ Elle crée ses propres vêtements ▬ Elle a ouvert un petit site de vente, il y a deux ans ▬ Elle a peur des oiseaux ▬ Adore manger ▬ Pratique la danse à un très bon niveau

❯ PRÉNOM : sarah.
❯ PSEUDO SUR LE NET : sensible.
❯ ÂGE : 22 ansi.
❯ VILLE / PAYS : France/Lorraine/Vosges
❯ OÙ NOUS AVEZ-VOUS DÉCOUVERT? : PRD est notre amie
❯ CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM? : Il est tellement moche et laid que j'ai craquée :s.
❯ CE QUE VOUS PENSEZ DE L'IDÉE DE FORUM À L'ANCIENNE (30 lignes maximum) : J'aime, j'adore, moi qui suit une adepte du court et rapide, je ne peu qu'aimer. La folie est plus facilement réalisable avec ce genre de rp.
❯ PRÉSENCE /7 : Tout les jours pour le jeu et la cb et 5 jours sur 7 pour le rp.
❯ SÉRIES PRÉFÉRÉS : BEAUCOUP TROP, PLL, OUAT, FALLING SKIE?, TWD euh .. friends, roswell, oth, teen wolf (*beug beug beug).
❯ UN PEU PLUS SUR MOI : Je suis une accro du bonbon c'est à dire que tans qu'il y en as chez moi je vais avoir envie d'en manger

Vous savez ce que sait d'être élevé par un homme. C'est d'ignorer ce que le mot maquillage veut dire, c'est de jouer au ballon plutôt qu'à la poupée et c'est de ne pas avoir peur de se jeter dans la boue quand il le faut. Et vous savez ce qu'on dit, que le premier amour d'une petite fille est son père. Mon père ne sera jamais élu homme de l'année. C'est un dragueur, un fêtard et un irresponsable né, mais malgré tout, il fait tout son possible pour être là pour moi. Il n'a jamais oublié de venir me chercher à l'école, il ne m'a jamais laissé mourir de faim et quand il sortait, j'étais toujours bien surveillais. Comme vous dites, ils font être deux pour faire un enfant. Ma mère, je ne l'ai pas connue, il ne me reste qu'une seule photo d'elle et elle est posée sur ma table de nuit. Elle est morte d'un accident lorsque je n'avais que deux ans. J'aimerais vous dire qu'elle me manque et que son absence est dure à porter, mais c'est faux. Je ne la connaissais pas, ce qui me manque le plus c'est une présence féminine, une présence douce et maternelle, une présence que je n'ai jamais eue.

Durant ma petite enfance, j'étais un parfait garçon manqué, cheveux courts et basket. Je passais le plus clair de mon temps au garage de mon père. J'aimais cette odeur de vieille voiture délabrée. Il m'arrivait souvent de monter au volant d'une de ces vieilles voitures et de me croire dans un circuit automobile. Je me sentais bien au garage, j'étais heureuse et j'étais avec mon père. Mais les autres enfants se moquaient de moi, les enfants peuvent être bien durs à cet âge. Je prenais sur moi, je redonnais les coups et mon père venait très souvent me chercher. Je n'avais que très peu d'amis, j'étais loin de la fille populaire.Mais un été, je décidai que tout devait changer. Dans deux mois, je serais au lycée et je devais devenir une femme. Je laissai pousser mes cheveux et je dépensai tout mon argent de poche en vêtements, chaussure et maquillage. Je me documentai sur le net et j'étais prête à faire mon grand retour au lycée. Dès le premier jour, les choses n'étaient plus les mêmes, des gens que je ne connaissais pas venaient me parler et j'avais le droit de venir manger avec les plus populaires. J'étais enfin belle et j'adorais ça. J'avais quitté le garage pour devenir serveuse dans un petit café. J'adorais m'y rendre et cela me permettait d'avoir un peu d'argent pour la suite de ma vie. Mon père lui n'avait pas changé et le comble, c'est que c'est moi qui l'attendais tous les soirs, c'est moi qui m'inquiétais pour lui.

Trois années passèrent et j'ai obtenu mon diplôme, mon père était là fier de moi, mais il avait quand même trouvé le moyen d'obtenir le numéro de la femme assise à côté de lui. À mes dis neufs ans, je pris mon indépendance et je m'installai dans un appartement près de la faculté où j'étudie la mode. Tout se passe bien, je vivais jusqu'à une relation assez compliquée avec un jeune homme. Nous étions, je t'aime moi non plus, malgré notre amour, nous nous pouvions nous empêcher de nous engueuler, de nous piéger de nous faire du mal. C'est à cause de cela que je fis un déni de grossesse. C'est-à-dire que j'ai découvert ma grossesse alors que j'étais déjà à huit mois passés. J'accouchai dans la plus grande secrète personne excepté ma meilleure amie était au courant. l'accouchement se passa mal et les médecins étaient dans l'obligation de me faire une césarienne. À la fin de ce calvaire, on me mit ma petite fille dans les bras, je versai ma petite larme et je la tendis aux services sociaux. Je me refusais de garder ce petit être avec moi, je n'ai que vingt ans et je n'arrive pas à garder un poisson rouge en vie. Elle mérite une vie meilleure.