C’est le 20 octobre 1991 qu’Olivia Alizée Nelson pointa le bout de son nez à l’hôpital de San Diego. Deuxième fille d’un couple aimable et soudé, Liv vécue une enfance sans jamais manquer de rien. Haute comme trois pommes, la fillette avait déjà une passion pour la mode et son rêve de devenir une célèbre créatrice de vêtements ne fit que s’amplifier avec le temps. Jeune fille sociable et généreuse, Oli commença à faire du bénévolat très jeune et n’hésita jamais à apporter son aide aux plus démunies. En résumé, son enfance se déroula dans une ambiance très agréable et elle partagea son temps entre l’école, ses cours de natation et les divers organismes de bénévolat. Sa citation de prédilection est depuis toujours « ce qui ne me tue pas me rend plus forte », ce qui fait en sorte qu’il n’y a pas beaucoup de choses à son épreuve et que la gêne ne fait pas partie du tout de son ADN. Son adolescence se déroula également sans problème mis-à-part qu’elle commença à souffrir de troubles alimentaires à l’âge de 14 ans à cause de son rêve de devenir LA prochaine designer la plus en vogue.
C’est également à l’âge de 14 ans, qu’elle affirma son orientation sexuelle. Heureusement, la nouvelle de son homosexualité passa au même titre que si elle avait annoncé avoir une préférence pour les chats que pour les chiens. Suite à l’adolescence, Olivia poursuivit ses études en mode à San Diego tout en continuant d’habiter chez ses parents. C’est à l’âge de 23 ans qu’elle désira déménager à Sidebay, ville non loin de San Diego, afin de poursuivre ses études tout en se rapprochant de l’endroit où sa chère sœur ainée habite et en ne partant pas trop loin de ses parents. Elle avait tout simplement envie de découvrir d’autres horizons que San Diego, rencontrer des nouvelles personnes, devenir plus indépendante de ses parents et faire de nouvelles découvertes pour lui donner des idées de créations. Rapidement, elle se fit un cercle d’amies et ne mit pas longtemps avant d’apporter son aide partout où elle pouvait s’impliquer. Par contre, ce n’est pas d’ici la veille qu’elle va devenir indépendante, car oui elle est bien le genre de fille à appeler ses parents à chaque soir et à bombarder sa sœur de texto même quand elle a vu cette dernière la vieille. C’est la tête remplie d’espoir et de désir de gloire et de succès que Liv continue ses études en mode en espérant un jour être acceptée dans un stage de la grosse pomme.