Working with the star - SAMEEN & HUNTER

Ce matin, comme chaque jour, je me levais tôt afin d'aller courir un peu avant de partir bosser. Suite à cela, je pris une rapide douche et me préparais pour me rendre au drive-in. J'enfilais un jean slim et un simple t-shirt blanc, terminant ma tenue en enfilant une veste en jean aussi clair que mon bas et une paire de bottines noires.

Je pris de quoi m'attacher les cheveux pour une fois que je serais au drive-in à bosser sur les voitures, puis je me saisi de mes clés, de mon sac et de mon portable, et je sortis de chez moi en refermant ma porte d'entrée.

Je montais ensuite dans ma Dodge Viper pour me rendre au drive-in, regardant l'heure pour me rendre compte que j'allais arrivé en avance, ce qui n'était pas plus mal. En effet, j'aimais bien arrivé en avance au boulot pour avoir le temps de ma poser et de me préparer à accueillir les voitures et leurs propriétaires dans le besoin.

En arrivant sur place, je me garais puis je sortis de ma voiture en prenant mes affaires, me rendant ensuite à l'intérieur pour les déposer au même endroit que d'habitude. C'est à ce moment que j'entendis du bruit au niveau des poubelles, et je décidais d'aller voir ce qui se passait.

En arrivant au niveau des poubelles je vis quelqu'un que je ne connaissais pas mais qui semblait être en train de s'occuper des poubelles. Je pris donc la parole.

« Bonjour, je suis Sameen Shaw, je travaille ici, puis-je vous demander ce que vous faites ? »

La tenue de Sam:

 

Alors que je venais d'arriver au garage et que j'avais été déposé mes affaires à l'endroit habituel, j'entendis un bruit du côté des poubelles vers lequel je me rendis. C'est alors que je vis un homme dont le visage ne me disais rien, qui était en train de s'occuper des poubelles comme le ferait un employé du drive-in.

Je me présentais alors en lui demandant ensuite ce qu'il faisait avec les poubelles. Il me répondit ensuite en se présentant à son tour, m'expliquant qu'il venait de commencer à bosser ici, ce qui expliquait le fait que je ne l'avait jamais vu au drive-in auparavant, puis il termina en présumant que j'étais l'une des mécanos du drive-in. Je repris alors la parole.

« Je comprends mieux, enchantée Hunter, et bienvenue parmi nous au drive-in. Je pense qu'étant collègues, on peut se tutoyer plutôt que de se vouvoyer du coup, non ? Et comme tu le présume, je suis bel et bien l'une des mécanos du drive-in. »

Je lui demandais ensuite s'il avait besoin d'aide avec les poubelles avant que les clients n'arrivent, puis je me mis à me demander quel boulot Hunter pouvait bien avoir ici, et je me décidais donc à lui demander, me doutant qu'il n'était pas seulement là pour s'occuper des ordures. Je pris donc de nouveau la parole en lui souriant.

« Et du coup tu t'occupes de quoi ici ? Parce que j'imagine que tu n'as pas été embauché juste pour les poubelles. »
 

Je venais tout juste de faire la rencontre avec un nouvel employé du drive-in et nous avions commencé à discuter à côté des poubelles où nous nous sommes rencontrés.

Durant notre discussion, le jeune homme m'appela Oil-girl, un surnom que personne n'avait jamais employé envers moi mais qui me fit sourire car même s'il pouvait être simple à trouver vu l'environnement dans lequel nous étions, Hunter était le premier à me le sortir, et il fallait avouer que c'était un surnom sympa. Je repris donc avec le sourire.

« Sympa comme surnom, on ne me l'avait jamais sorti. »

Ensuite, alors que je lui demandais pour quel boulot il était présent ici, le jeune homme m'expliqua qu'il était présent pour un peu de tout mais qu'il était pompiste à la base. Je lui répondis alors.

« C'est cool, on se verra souvent alors. »

Suite à cela, Hunter changea de registre de parole et me demanda si j'étais, ou plutôt si je n'étais pas la coureuse surnommée Impact Blue. Malheureusement, je ne pouvais que lui dire la vérité, qu'il ne se trompait pas et que j'étais bien la femme dont il parlait. Je passais alors ma main derrière ma nuque, et, tout en souriant, je lui répondis.

« En fait … Si, c'est bien moi, je suis bien la pilote qu'on surnomme Impact Blue. »

Je ne savais pas quoi ajouté, je n'étais pas préparée à être reconnue par un collègue de boulot que je rencontrerais aujourd'hui, même si je savais que depuis le temps que je courais, j'étais devenue assez connue vu qu'il m'arrivait même de passer à la télévision et d'être interviewer par les journalistes.
 

Je discutais avec Hunter depuis un petit peu de temps quand il décida de me donner le surnom d'Oil-girl qui me fit sourire. Après lui avoir dit que le surnom était sympathique, il me répondit que c'était tout lui ce genre de surnoms. Je repris alors.

« Tu trouves de bons surnoms en tout cas. »

Suite à cela, Hunter me demanda si j'étais bien la pilote surnommée Impact Blue dans le domaine de la course automobile, ce à quoi je répondis positivement, légèrement surprise car je ne m'attendais pas à trouver au boulot une nouvelle personne qui me reconnaîtrait.

Le jeune homme n'en revenait pas de bosser avec une vedette, et il me le faisait savoir, m'expliquant qu'il suivait ma carrière, qu'il adorait ce que je faisais et qu'il me trouvais canon. Je lui souris alors de nouveau, touchée par les compliments qu'il me faisait et je lui répondis.

« Je ne suis pas une grande vedette non plus tu sais, je suis juste une pilote. Merci de suivre ma carrière, j'espère ne pas trop décevoir sur certaines courses. Et merci du compliment, mais je ne suis pas si belle que ça, et puis tu es superbe aussi. »
 

Depuis mon arrivée au drive-in ce matin, je discutais avec Hunter, un nouvel employé des lieux. Alors que nous faisions connaissance, le jeune homme replaça le surnom que l'on me donne dans le domaine des courses automobiles sur mon visage, m'expliquant qu'il suivait ma carrière depuis un moment.

J'étais contente de voir que des personnes me suivaient et ne s’arrêtaient pas au fait que je sois une femme pour dire que ma place n'était pas derrière un volant. Je remerciais alors Hunter pour tout ce qu'il me disais, puis je lui répondais que malgré tout je n'était pas tant que cela une vedette car il y avait toujours des personnes exceptionnelles au-dessus de moi.

Hunter me demanda alors de ne pas jouer les amatrices car nous savions, lui et moi que ce n'était pas ce que j'étais. En effet, je n'étais pas une amatrice, je connaissais bien le domaine, mais je ne cherchais pas non plus à le faire croire. Je répondis alors.

« Ce n'est pas ce que j'essaie de faire croire, je veux juste dire qu'il y a des personnes beaucoup plus incroyables que moi et que l'on peut véritablement qualifier de vedettes. »

Suite à cela, le jeune homme prit un sac poubelle et me dit qu'il n'avait pas la chance que j'avais de travailler au garage, qu'il servait à vider les chiottes des citoyens de la ville. Je lui demandais alors.

« Tu voulais travailler au garage, en tant que mécano ? Qu'est-ce qui t'en empêche ? »
 

Depuis un petit temps à présent, je discutais avec Hunter à côté des poubelles où nous venions de nous rencontrer. Nous étions passés par plusieurs sujet jusqu'à ce que la conversation passe par ma carrière de coureuse.

Le jeune homme me situait comme une vedette que je n'étais à mon sens pas véritablement vu qu'il y avait beaucoup de personnes mieux placées que moi pour recevoir ce statut. Mais bon, il fallait avouer qu'au vu du nombre de personnes qui suivaient ma carrière et du soutien que j'avais lors des courses, il y avait de quoi dire que j'étais une vedette.

Par la suite, nous en venions à discuter du boulot d'Hunter au garage, ou plus précisément à celui qu'il aurait voulu faire. Le jeune homme m'expliqua qu'il 'avait pas de diplôme mais que cependant il était certain d'être plus compétent que d'autres employés du garage, ajoutant qu'aucune confiance n'était accordée aux personnes non cultivées. Je lui souris alors avant de lui répondre, une idée en tête.

« Et bien, je pourrais peut-être essayer quelque chose si tu veux. Je bosse ici depuis plusieurs années maintenant, donc je devrais pouvoir avoir une conversation avec le patron pour lui demander si je peux te prendre avec moi pour bosser sur les voitures dans le garage. S'il n'a pas confiance, j'ajouterais que c'est pour te ''former'' même si à mon avis tu dois déjà savoir pas mal de chose et qu'une formation te serait inutile, mais cela pourrait le mettre en confiance. Cela te tenterait ? »

Sur le coup, je ne savais pas pourquoi je faisais cette proposition à un homme que je venais de rencontrer et qui bossait comme pompiste au drive-in, mais ma première impression me faisait croire en lui et me poussait à lui demander si cela l'intéresserait.

Suite à ça, le sac poubelle qu'Hunter prit se déchira, se vidant de son contenu sur le sol au grand désespoir de mon nouvel ami. Je le regardais avant de me baisser en reprenant la parole.

« Tu veux un peu d'aide ? Ce sera plus rapide à deux. »
 

Je venais tout juste de rencontrer Hunter, mon nouveau collègue de travail, en arrivant sur les lieux aujourd'hui, mais sans savoir pourquoi, j'avais envie de lui permettre d'avoir sa chance de montrer ce qu'il valait comme mécano plutôt que comme pompiste. Je lui ai donc proposer d'en discuter avec le patron, et le jeune homme me répondis alors que je pouvais toujours essayer mais que le patron ne l'appréciait pas plus que ça. Je repris alors la parole en lui souriant.

« Je suis sûre qu'en lui avançant les bons arguments il cédera, surtout que tu ne sembles pas adorer la place de pompiste. Mais tout dépend de ton avis à être à l'un ou l'autre des postes, je ne tenterais rien sans ton accord. »

Même si le patron ne l'appréciait pas, ce n'était pas une raison pour priver un homme d'un boulot pour lequel il serait compétent en le mettant à une place à laquelle il ne tient pas. Je comptais lui montrer que le jeune homme était capable d'occuper la place d'un mécanicien et pas simplement celle d'un pompiste.

Par la suite, que le sac lâcha, je proposais mon aide à Hunter, constatant que ce n'était pas quelque chose d'appréciable et encore moins quand cela faisait peu de temps que l'on bossait ici. Le jeune homme me répondit alors que j'avais le choix si je voulais mettre les mains dans la merde. Je me baissais alors, le sourire aux lèvres pour l'aider.

« Je ne vais pas te laisser t'occuper de ça tout seul, et puis à deux on ira plus vite. »